Les Trois Chèvres

Il était une fois, trois chèvres brunes. Les chèvres étaient sœurs, et elles aimaient voyager ensemble. Les chèvres avaient des âges différents. La plus vieille avait des cornes grandes, la chèvre de moyens âge était très rapide, et la chèvre la plus jeune avait seulement des yeux spéciaux. Un jour, les chèvres voyageaient dans le paysage quand, tout d’un coup, un monstre horrible a sauté dans la rue. Il dit aux chèvres ; « Vous ne traversiez pas cette rue à moins que vous ne me payez. »

Les chèvres étaient pauvres – alors, elles n’avaient pas d’argent pour acheter leurs passages. Le monstre l’a vu, et il a rit. « Si vous voulez traverser, vous devez me tuer. » Les chèvres étaient courageux, et ils ont décidé faire quelque chose.

La chèvre plus vieille s’est approche le monstre. Elle a couru vers le monstre avec ses cornes prêtes, mais le monstre a évadé, et avec des mains gigantesques, le monstre a pris la plus vieille chèvre et l’a mangé dans un instant. Il a rit encore.

Maintenant, la chèvre de moyens âge était fâchée. Ses jambes étaient rapides, et il a pensé que le monstre n’était pas agile. Alors, quand il coure vers le monstre, la chèvre de moyens âge était surprix. Comme magique, le monstre a t’il pris, et mange comme le premier chèvre. Il y avait un « Baaahhh ! » et ensuite silence. Le monstre avait de sang rouge sur ses lèvres.

Alors seulement la chèvre la plus jeune vivait. Elle était très petite. Mais elle avait un secret – ses yeux spéciaux. Le monstre s’est approché, mais la chèvre n’a pas bougé. Quand le monstre était seulement dix mètres de loin, les yeux de chèvre ont brillé en rouge. Le monstre s’est arrêté. Tout d’un coup, des lasers rouges ont jeté sur les yeux de la chèvre plus jeune. Les lasers ont battu le monstre, et dans un instant, il a dissoudrai par des cendres. La plus jeune chèvre a continué par sa route.

Fin.

Comment J'etais/Comment Je Suis

1) Quand j’étais petit, je ne pouvais pas faire du vélo, mais maintenant, c’est possible.
2) Quand j’étais petit, je ne regardais pas la télévision, mais maintenant, je regarde des programmes quelquefois.
3) Quand j’étais jeune, je n’aimais pas le théâtre, mais maintenant, j’aime ça beaucoup.
4) Quand j’étais petit, j’aimais les bananes, mais maintenant, je ne les aime pas.
5) Quand j’étais petit, je ne lisais pas de livres, mais maintenant, j’aime lire et j’aime les livres.
6) Quand j’étais petit, je chantais… et maintenant, je chante aussi.
7) Quand j’étais plus jeune, je habitais a l’Ohio, mais maintenant, je ne retourne pas là.
8) Quand j’étais jeune, je dessinais par les murs, mais maintenant, je dessine par des papiers.
9) Quand j’étais petit, je ne pouvais pas parlais le français, mais j’étudie cette langue et maintenant je parle français assez bien.
10) Quand j’étais jeune, j’avais des animaux domestiques, mais maintenant, j’ai un ordinateur et je n’ai pas d’animaux.

Ma Peinture

Ernest Messioner
Le Siège de Paris (1870-1871)

Le musée est noir dans la nuit. Une lune blanche est la seule lumière ; elle est visible par les grandes fenêtres. La peinture est là-bas, ce tableau a attiré mes yeux. Je vais vers la peinture, mes pieds sillent. Mon bras se levé comme il pense indépendant, et ma main touche la peinture. Il y a un instant du chaos. Et après ça, je suis dans un monde diffèrent. Le ciel est gris et horrible, la terre brille et les personnages sont en train de mourir. Au centre il y a une personne qui a un drapeau français.

« Vous êtes français? » J’ai posé la question.
« Oui, » a répondu la personne avec le drapeau. « Je suis un Parisien. Nous sommes tous Parisiens. Est-ce que vous connaissez Paris? »
« Je connais Paris assez bien, oui, » J’ai dit, « Mais pas dans ce siècle. Vos vêtements sont vieux et vos armes aussi. C’est quelle année ?
« C’est l’année 1870, » la personne m’a répondu. « Savez-vous ce que nous faisons ? »
« Mourir, » J’ai dit avec de l’humeur noire.
« Oui, mais plus que ca, » la personne avec le drapeau a dit, « C’est le siège de Paris maintenant. Les ennemies attaquent. Nous défendons la ville avec tous nos hommes. »
« Ah, je le vois, » J’ai répondu.
« Connaissez-vous la bataille ? »
« Non. »
« Alors, quitte notre monde, » répond la personne. « Je sais que vous n’êtes pas préparé de mourir.

Et comme la magie, je suis dans le musée encore. La peintre est seulement une peintre dans ce monde.

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